Majestueuse silhouete qui caresse le visage,
Tendre brise qui accoure sur le rivage,
Plage de tous les coeurs,enchantée par la douceur
Des murmures de vagues qui ce meurt.
Le chant mélodieux des mouettes lointaines
Et le sifflement du vent,du sable qu'il entraine,
Berce les jours de la côte et de ces êtres,
Tourmenté ou éxalté d'un air marin venu des mers.
Les majestueux banc de sable coule sans un mot,
On ne les entends,couverts du chant des syrènes
Qui pleurent le départ des beaux flots,
Il est l'heure de repartir au plus profond des eaux.
Et sur sa robe bleuté au teint blême,
Le soleil a semé ses derniers rayons,
Sur les reflets des vagues et de l'écume
Des ombres qui se forment sur l'horizon.
Un dernier rayon vert projeté sur la mer,
La brise qui vient s'écarteler sur ses paires
Qui caresse le visage des rêveurs solitaire,
Quand le ciel étoilé pointe son nez sur la terre.
Demeure seulement la danse du houlement des vagues
Et cette marée noir ou ondule un disque blanc,
Seul reflet de cette nuit étoilé,ou le temps
Sous cette voute s'arrete,et ou paisiblement tous vogue.
Mais deja dans l'opposé de son couchant,
De la pointe la plus lointaine et inimaginable,
Le soleil monte rejoindre son manteau de nuage blanc,
Et la grande bleue reprend son charisme inémitable.